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Posted by psppander sur octobre 21, 2009
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Posted by psppander sur octobre 15, 2009
LES « FLYING TIGERS » : UNE ESCADRILLE DE LÉGENDE
Deux semaines après l'attaque dévastatrice de Pearl Harbour, un escadron de jeunes pilotes très téméraires préparent la riposte américaine… Les Flying Tigers iront bombarder les Japonais depuis la Chine. Découvrez les tactiques audacieuses des as du ciel Tex Hill et John Allison qui, à bord de leur Tomahawk P-40, ont causé beaucoup de dégâts.
video 1 à 3
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COULEZ LE BISMARK!
Posted by psppander sur octobre 15, 2009
COULEZ LE BISMARK!
Nous sommes en mai 1941, en plein coeur de la Seconde Guerre mondiale. Le Bismarck de la Kriegsmarine, le navire de guerre le plus puissant sur Terre, fend les flots de l'Atlantique Nord. Sa puissance de tir sème la terreur parmi la flotte marchande britannique. Quoi faire pour stopper le Bismarck? Revivez cette page importante de l'histoire de la deuxième grande guerre alors que les pilotes de l'armée de l'air du Royaume-Uni ont un seul mot d'ordre : COULEZ LE BISMARCK!
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Posted by psppander sur octobre 15, 2009
Liste des avions de la Première Guerre mondiale
Avions militaires 14/18 anglais |
Avions militaires 14/18 français |
Avions militaires 14/18 allemands |
Sigles des avions allemands de la Première Guerre mondiale.
Avions militaires 14/18 autrichiens |
Avions militaires 14/18 italiens |
Avions militaires 14/18 russes |
Avions militaires 14/18 américains |
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14-18 – La vie au front
Posted by psppander sur octobre 15, 2009
14-18 – La vie au front
l'émission spéciale consacrée à la vie quotidienne pendant la Grande Guerre.
Avec le général Robert Bresse, directeur du Musée de l'Armée ; Serge Barcellini, conseiller pour les cérémonies du 90e anniversaire ; Jean-Yves Le Naour, historien et Vincent Trémolet, journaliste.
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L’histoire ultime du Messerschmitt
Posted by psppander sur octobre 15, 2009
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14-18 Gueule cassée
Posted by psppander sur octobre 15, 2009
Gueule cassée
La Première Guerre mondiale marque un franchissement du seuil de brutalité infligée aux corps des combattants. En ce sens, les « Gueules cassées » constituent l'exemple le plus emblématique de la violence nouvelle des combats. En effet, jamais dans les conflits antérieurs l'activité guerrière n'avait induit de tels dégâts corporels. Plus de 70% des blessures sont désormais infligées par des projectiles d'artillerie (éclats d'obus, de bombes, de grenades…). | ||
« Lieu le plus humain de l'homme », le visage est à la fois un carrefour esthétique et fonctionnel. Toutes les atteintes au visage déterminent de graves infirmités. Défiguré, le blessé se trouve alors confronté à l'expérience du démantèlement de sa personnalité. Il s'expose ainsi à une double violence : la première, est liée à la difficulté de reconnaître un visage qui n'est plus le sien ; la seconde procède de la modification de la relation à autrui, nécessitant l'élaboration de nouveaux rites d'interaction. |
Si la Première Guerre mondiale n'a pas engendré un nouveau type de blessures (en témoigne les légendaires invalides à la Tête de Bois des Campagnes napoléoniennes), en revanche, ce que la Grande Guerre apporte de nouveau, c'est la gravité des dégâts faits aux visages, inhérente à la modernisation de l'armement, beaucoup plus destructeur, et la fréquence jusque là inconnue de ce type de blessés, dont la durée du conflit a contribué à accroître le nombre. Il apparaît cependant difficile d'évaluer le nombre des défigurés. On l'estime néanmoins supérieur à 15.000 ! | |||
» Aucune blessure de la guerre en Europe « , écrivait au sortir du conflit, un journaliste du New York Times, » n'a été aussi atrocement frappante que celles touchant au visage de l'homme « . Les défigurés de la Grande Guerre font partie intégrante du paysage dévasté de l'après-guerre. Pour comprendre l'une des expériences humaines les plus atroces du XXe siècle, il importe de montrer ici l'itinéraire de la souffrance physique des blessés au visage avec la reconstruction des visages détruits et de s'attacher à voir de quelle manière ces » frères de souffrance » parvinrent, au sortir de l'environnement protecteur de l'hôpital, à se réinsérer dans la société de l'après-guerre. Reconstruire des visages
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Les réponses thérapeutiques aux constrictions consistaient à favoriser l'ouverture de la bouche à l'aide de différents procédés. L'élaboration d'appareils par les mécaniciens dentistes tels que les écarteurs, les ouvre-bouches, les poires d'écartement ou le procédé du » sac « , ont provoqué des souffrances insoutenables : les blessés étaient soumis à des séances quotidiennes de rééducation par la mécanothérapie. Si cette dernière permettait d'éviter l'intervention chirurgicale, les résultats s'avéraient cependant très décevants. |
Présentation des appareils et procédés |
Appareil utilisé dans le traitement |
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ouvre-bouche | ||
On retrouve plusieurs variétés d'ouvre-bouche dans les différents services spécialisés, tel que celui présenté par les responsables d'un Centre de chirurgie maxillo-faciale. L'appareil est placé dans la bouche du blessé et maintenu de manière à étirer les muscles des mâchoires et à l'aider à recouvrer l'élasticité musculaire. Une graduation permet de mesurer la progression de la mécanothérapie. La rééducation par la mécanothérapie mobilise le blessé pour une durée variant de plusieurs jours à plusieurs mois, pour des résultats peu importants. |
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L'appareil appliqué dans un cas de constriction des mâchoires. Pendant l'ouverture de la bouche, nous voyons que le levier inférieur et le bras intermédiaire sont écartés |
Présentation des appareils et procédés
procédé du sac
Décrit par le médecin Pitsch lors du Congrès dentaire-interalliés en 1916, le procédé du sac est un exemple caractéristique de la brutalité des réponses médicales aux constrictions des mâchoires. Il écrivait : |
Les « coupe-papier » : 2 planchettes de bois de 20 cm introduites dans la bouche par le malade pour élargir l'ouverture de la mâchoire en préalable à l'introduction du crochet portant le sac |
Présentation des appareils et procédés
procédé du sac
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Dans les deux cas, l'inconvénient de telles méthodes résidait dans une action brutale et douloureuse. Les muscles, trop brusquement ou trop violemment étirés, se rétractaient ensuite fortement, annihilant ainsi les efforts consentis. |
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Gouttière de contention des fractures, casque de Darcissac
Une étape essentielle de la reconstruction du visage a trait à la mise en place de prothèses.
La prothèse immédiate, telle que la gouttière de contention ou le casque de Darcissac interviennent avant le traitement de réparation plastique proprement dit.
Il s'agit ici pour le chirurgien de favoriser la consolidation en bonne position des fractures et de préparer la réparation plastique des parties lésées par le traumatisme.
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Gouttière de contention des
fractures, casque de DarcissacLe casque de Darcissac (du nom de son précurseur)
Le port du casque nécessite une immobilisation de deux à trois semaines afin de permettre la consolidation des fractures. Mais le casque tournait sur le crâne du blessé, suscitant de très vives douleurs. Sa salive s'écoulait en permanence, contribuant à l'épuisement du défiguré.
Mutilation de la face, chute en masse du maxillaire supérieur
Gouttière en place montrant la réduction et la contention du maxillaire inférieur vue de face
Gouttière en place montrant la réduction et la contention du maxillaire inférieur vue de profil
Greffes ostéopériostiques
La méthode de greffe ostéo-périostique s'appliquait pour l'essentiel à la réparation des pertes de substances osseuses plus ou moins étendues.
Il ne s'agit pas d'une innovation thérapeutique mais de l'adaptation d'un procédé » classique « . En effet, particulièrement employée dans la chirurgie des membres avant 1914, son indication se trouve étendue pendant la guerre grâce à l'initiative du Dr Delagenière, médecin-chef du centre de chirurgie maxillo-faciale du Mans. La méthode s'appuie sur la fonction sécrétante du périoste (membrane fibreuse qui entoure l'os et seule partie de l'os véritablement active).
Destruction de la paroi externe des fosses nasales
et de la base du maxillaire supérieurIl s'agissait de prélever un greffon sur la face interne du tibia du blessé et de le poser sur la région réceptrice. Le greffon, très malléable, s'appliquait sur la perte de substance en prenant la forme voulue, assurant le rétablissement complet et solide de la continuité osseuse.
En dépit de certaines réticences manifestées par une partie du monde médical, les greffes ostéo-périostiques permettaient de corriger les difformités faciales et d'obtenir un résultat fonctionnel certain.
Aspect normal après l'application
des greffes ostéopériostiques
dans l'épaisseur du lambeau génien.
Greffe Dufourmentel | La méthode de greffe dite Dufourmentel constitue une réponse thérapeutique innovante mais tardive aux délabrements faciaux. En effet, ce n'est qu'au cours de l'année 1918 que le chirurgien Léon Dufourmentel appliqua aux blessés, dont les vastes mutilations étaient jusque là restées sans réponse, cette technique opératoire novatrice. |
Blessé avec mutilation partielle de la mâchoire inférieure lui donnant ce » profil de fouine » |
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Le chirurgien découpe une lanière, composée de deux épaisseurs de peau, au sommet du crâne du blessé (la qualité du cuir chevelu étant supérieure à celle du bras) pour assurer ainsi la vitalité du lambeau. Il transpose ensuite le lambeau de manière à réaliser une véritable sangle et le rabat sur la partie mutilée du visage. Ce procédé permet de combler la perte de substance et d'éviter également la rétraction de la greffe. |
Aspect après section des pédicules du grand lambeau et application d'une lèvre inférieure prélevée sur la muqueuse de la joue. |
Même aspect de profil. On voit le pédicule du lambeau remis à sa place |
Après retouche et greffe ostéopériostique. Vue de face. |
Après retouche et greffe ostéopériostique. Vue de 3/4. |
Six mois plus tard, les cheveux du lambeau greffé ont poussé et reconstitué une nouvelle barbe |
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14-18, le bruit et la fureur
Posted by psppander sur octobre 15, 2009
14-18, le bruit et la fureur
Tout est loin d’avoir été dit sur la “der des ders”, sur l’histoire de cette immense tromperie, de ce gâchis infini. A travers le récit d’un soldat qui a traversé toute la guerre et qui parle aussi au nom de ses camarades, « 14-18 le bruit et la fureur » est un documentaire réalisé à partir d’images d’archives, pour la première fois, restaurées, colorisées et sonorisées. A rebours de la victimisation du soldat qui a longtemps prévalu, le propos de ce film est nouveau : la Grande Guerre a été entretenue par un consentement général. Ce sont des sociétés entières qui se sont jetées dans ce qu’elles pensaient être un combat de la civilisation contre la barbarie. Elles se sont ainsi engagées dans le premier massacre de masse moderne, sans avoir la moindre idée de ce qui les attendait. En suivant les analyses d’Annette Becker, l’un des chefs de file de ce nouveau courant historiographique, ce film donne une vision neuve de ce conflit dont l’ampleur, la violence, le caractère total ont à la fois préfiguré et engendré les tragédies du XXe siècle.
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1914-1918, le grand tournant
Posted by psppander sur octobre 15, 2009
1914-1918, le grand tournant
Ce documentaire nous propose de manière très didactique un rappel des grands faits de la première guerre mondiale et de ses conséquences. S’appuyant sur des interventions d’historiens (Stéphane Audoin-Rouzeau, Pierre Miquel, Christophe Prochasson, Max Gallo, Françoise Thébaud), sur des témoignages d’enfants de poilus, mais aussi sur une riche documentation (extraits de films, cartes, photographies, affiches), il part de l’idée que la mémoire de la Grande Guerre et ses traumatismes demeurent vifs encore aujourd’hui au cœur de la société française. Selon un déroulé chronologique strict, le film présente la France à la veille de la guerre, rappelle l’état du pacifisme en 1914 et mesure la montée du patriotisme défensif, avant de fixer les bornes chronologiques du conflit mondial et ses différentes phases. Il insiste sur le caractère total de cette guerre, sur les souffrances des soldats au front, en particulier à Verdun ou au chemin des Dames, et sur les mutineries qui en découlent, mais aussi sur la mobilisation des populations à l’arrière. Puis il présente le bilan de la guerre, en soulignant que se trouvent dans la victoire les ferments de la crise à venir. Quelques coups de projecteurs donnent une place éminente aux femmes françaises durant la guerre et offrent les témoignages des enfants de poilus.
L’ensemble du film, suffisamment riche et complet pour constituer une excellente introduction ou une conclusion synthétique à une séquence sur 14-18, invite à prendre la mesure de cet événement, comme fondateur de l’histoire du XXe siècle.
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